OBJECTIF
De tous les aspects à prendre en compte dans la maladie d’Alzheimer, l’alimentation est un domaine encore insuffisamment évoqué.
Pourtant, pour le malade comme pour le soignant, les problèmes d’ordre nutritionnel représentent souvent une source quotidienne de difficultés, alourdissant la charge de travail et agissant directement sur l’état de santé du malade
CONTENU
La perte de poids :
- Un facteur de risque de mortalité
- La dénutrition protéino-énergétique et les risques d’infections, de chutes, d’escarres…
Les altérations de la personnalité et la manière de se nourrir à partir d’un certain stade de la pathologie :
- Difficultés pour utiliser les couverts, couper les aliments, mâcher, troubles de la déglutition
- La lenteur et la distraction
- La modification du goût et de l’odorat…
La prise en charge nutritionnelle :
- L’hygiène bucco-dentaire
- L’activité physique
- Les repas pour structurer la journée et diminuer l’isolement social
- L’aider à s’alimenter suffisamment et de façon équilibrée
- Adaptation de l’environnement
- Façons de proposer les aliments
- Conseils pratiques en cas de troubles du comportement alimentaire
Que manger? :
- Une alimentation variée, fractionnée et enrichie
- Les aliments à éviter
- La couleur, l’odeur, la texture
- Les aliments qui peuvent être consommés debout
Les moyens pour augmenter la densité nutritionnelle des aliments :
- Les aliments qui permettent d’enrichir les préparations
- Les suppléments diététiques liquides
METHODES
- Apports théoriques et pratiques
- Etudes de cas concrets
- Mises en place d’axes de travail

Durée indicative : 1 Jour de 7 heures
Formateurs : Cadre infirmier ou Consultant en restauration
Programmes personnalisés sur demande - [email protected] - Tél. : 01 48 08 11 25